Ce que dit la Bible au sujet de la semence et de la lumière


La lumière est semée pour le juste, Et la joie pour ceux dont le coeur est droit. Psaume 97:11

La véritable lumière: En elle (laParole ou Jésus) était la vie, et la vie était la lumière des hommes. La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont point reçue. Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme. Elle est venue chez les siens, et les siens ne l'ont point reçue. Jean 1: 4 - 11
La bonne semence et l´ivraie: Le royaume des cieux est semblable à un homme qui avait semé une bonne semence dans son champ. Mais pendant que les hommes dormaient, son ennemi vint, qui sema de l'ivraie parmi le blé, et s'en alla. Matthieu 13:24-25

Sunday, March 29, 2020

Le Lion et l'Agnelle

Composition et publication par Jean-Louis Mondon 




C’est ce que j’aime en toi, ce qui m’attire …

Pouvoir te comprendre sans essayer d’analyser,
Quel privilège de contempler ta simplicité virginale
De simplement recevoir ce que tu m’offres
À ta manière toute originale,
Si gentiment, et courageusement,
Si tendrement et si généreusement

La porte,  tu l'as entrouverte
En réponse à un aveu
À peine chuchoté dans l’intimité
D’un boudoir de trafic virtuel,
D’une alcôve sans cloisons
Les murs n’ont pas d’oreilles
Dans le royaume du sommeil
Des rêves lucides empruntant leur essor
Des ailes caressantes de tes paroles
Réveillant tendrement ce cœur mort
D’avoir battu, trop vite, trop longtemps
Pour de mauvaises raisons.

La raison est souvent trompeuse
Elle se laisse emprisonner
Par les idées de vendeurs d’esclaves
Au meilleur acheteur
Mais l’amour pur et vrai
A seulement ses saisons,
Et nul besoin de se rendre,
De s’acheter ou de se vendre.

C’est lui seul qui rend la liberté
Qui ouvre toutes grandes les portes
De la servitude d’un peuple opprimé,
Fatigué du joug qu’ils ont eux-mêmes forgés,
Tendant leur cou fragile en abaissant le regard
Sous l’arrogance du maître de leur choix
Élu par peur de lever leurs yeux jusqu’au ciel
Pour accueillir humblement le message
Depuis longtemps proclamé.
Source éternelle d’unique vérité
Seul remède à la mourante humanité.

Toi, ma sœur, mon amie de toujours
Et mon amour renaissant en concert
Avec l’aube de chaque jour,
Tu l’as vue, cette chère liberté
Tu l’as goutée, elle guide ta vie,
Elle a rempli de mesure sage
L’infini qui nous est promis
Dans un avenir si présent
Dans ta belle âme sans frontières
Découverte et arpentée seulement
À la lumière des pas précédents
Sans besoin d’un regard furtif
Sur le chemin déjà parcouru
Dans le domaine des ombres

Nul besoin de se dérober
Quand le cœur pur est mis à nu
Sous le regard protecteur
De ton égal en réflexion
Sur la surface miroitante
De ta profondeur inaccessible
Aux navigateurs zélés étalant
Leur convoitise dans le creux
De leur marée basse où s’accumule
Un flux incessant d’écume inutile

Seuls les êtres équilibrés
Peuvent se permettre
De parcourir à leur gré
Le domaine des superlatifs
Sans pour cela admettre
La faiblesse de paraître extrêmes
Aux yeux des aveugles
Et de tomber dans le piège si tentant
D’une insipide médiocrité

Tout cela tu me l’as enseigné
Avec ta douceur, ta patience
Face à mon érudite ignorance
Tu as calmé ma fougue
Et mes élans passionnés
Ce lion que je crois être
Tu l’as dompté et lui donne à manger
Dans le creux de ta main entraînée
A bénir et à nourrir, toi enfant fidèle
De l’agneau de Dieu immolé

Toi, ma douce et gentille agnelle,
Bénis soient le reste de tes jours
Dans la paix, l’amour et la joie
Que Dieu dans sa grâce t’accordera.

Jean-Louis

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