Dédié à la mémoire de Lucy une amie
Que j’aurai aimé connaître
Les rêves de jeunesse se transforment
En cocons de vers à soie
patiemment tissés au fil des ans.
patiemment tissés au fil des ans.
Les ailes de papillons alourdies
Par les larmes de nuages
Reposent parmi les fleurs
Ramassées au passage
Les souvenirs collectionnés
Dans nos boites à musique
Perdent leur charme magique
De pouvoir encore éveiller
Les chères voix du passé
Et les pas de la danse
Ralentissent et s’estompent
Discrètement derrière le rideau
Quand la boite se referme
Et les notes s’égrènent à nouveau
Sur l’étagère de nos pensées.
Jean-Louis
No comments:
Post a Comment